Dyphille Sapa

Informations

Race : Dryade
Genre : Féminin
Orientation : Pansexuelle
Âge : On ne demande pas son âge à une dame voyons ~
Date de naissance (jour et mois) : Elle ne s'en souvient pas vraiment. En revanche, elle sait qu'elle a pris forme plus ou moins humaine un 4 Avril
Emploi : Serveuse "Aux Petits Plaisirs"
Source de l'avatar : Chiyo - Ane naru mono

Mental

La grande dame du bosquet ne semble pas aussi âgée qu’elle devrait l’être. En effet, physiquement, elle n’en a aucun trait mais c’est son attitude, en revanche, qui laisse planer cette drôle d’impression d’éternité. Elle est douce, Diphylle, comme une sœur, comme une mère ou bien, à la manière d’une tendre amante protectrice. Calme, elle n’élève naturellement pas la voix de trop, d’un ton plus proche des murmures sensuels au réveil qu’on ne l’imagine éclater d’indignation. D’une façon générale, la colère parait exempte de son être, exhalant plutôt une lascive et envoutante sérénité. Diphylle incite à la confidence, semblant toujours prête à écouter les maux qui pèsent sur la conscience tant des humains que des créatures. En silence, un fin et délicat sourire sur ses lèvres rosées, on dirait qu’elle ne porte jamais le moindre jugement.

Pourtant, il existe tout un monde sous ce séduisant corps et derrière ce joli minois, la Dryade de la jungle étend déjà ses lianes gourmandes autour de sa proie.

Diphylle est curieuse, vorace, obsessionnelle. Elle aime aussi passionnément les créatures vivantes qu’elle les déchire. Gloutonne sémantème de la sombre nature, son amour grandit sans qu’on ne le remarque forcément et, déjà, la voluptueuse dame offre de beaux regards désireux. Elle vénère autrui tout comme elle apprécie être adorée, les vivants sont si somptueux que Dyphille se plie volontiers à leurs caprices. Enfin, jusqu’à ce qu’ils la blessent.
Voyez, la dryade offre son amour et sa confiance d’une telle manière qu’elle répugne la trahison, ou bien, ce qui semble y paraitre à son sens. Cependant, quoi que l’on puisse penser, l’infidélité n’en fait pas partie. Elle-même est capable d’aimer d’une façon si forte et multiple qu’il serait hypocrite de se montrer jalouse. En revanche, tenter de lui faire du mal ou lui mentir desséchera des sentiments inhumains à l’égard du, ou de la, concerné. Et qui sait jusqu’où les perversions distordues de la créature peuvent aller, elle qui est déjà si peu farouche d’ordinaire.

Physique

Élégante, à la fois élancée et rebondie de formes généreuses au niveau de ses cuisses, hanches mais surtout, de sa poitrine, Diphylle est une vision de ravissement. Sa forme humaine est d’une beauté étrangement naturelle, faite de peu de choses. Un corps bien fait, de jolis cheveux bruns pour des yeux noirs pénétrants, l’allure tendre et tentante, son visage plaisant ne dénote que par la présence d’un grain de beauté sous l’œil, pendant que la peau claire et douce invite au toucher. Elle a ce parfum aussi, de verdure fraiche et de fleurs exotiques qui vient ravir les sens.
Puis, des diphtongues commencent à apparaitre à ses oreilles tout d’abord, ces dernières se faisant sensiblement plus pointues. Ensuite, ses cheveux qui se séparent en mèches deviennent plus compacts, évoluant progressivement en lianes tentaculaires dont la teinte bleue-verdâtre à ses extrémités suppure parfois d’une sève blanchâtre à l’odeur sucrée. Viennent après les bois faisant penser à des cornes sur le sommet de son crâne, de longs doigts griffus, d’envoutantes prunelles améthyste et des jambes enrobées d’un duvet moussu et de feuilles. Culminant au sommet d’un mètre quatre-vingt-deux, il s’agit là d’une stature impressionnante pour une femme mais elle n’en ressent aucune honte, gêne, ou fierté. Elle a bien l’habitude de se déplacer plus haut grâce à ses lianes, ainsi, c’est un point de vue qu’elle connait.

Histoire

Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Dyphille a toujours fait partie de l’île. Loin d’être une habitante, elle était un morceau de la jungle luxuriante qui offrait autant de beautés que de dangers. Cette époque lointaine demeure néanmoins floue à sa mémoire, faite principalement de sensations et d’émotions multiples, diffuses. Puis, sa conscience s’est éveillée, la dryade aurait du mal à dire quand de façon exacte, et elle s’est attelée de toute son âme aux soins de son bosquets et des créatures qui y logeaient. Elle commença à avoir plus de contrôle réel sur son environnement par des lianes et elle se souvient avoir de nombreuses fois capturé des êtres vivants pour nourrir ses petits protégés. Elle évitait d’empiéter sur le point d’eau dans lequel elle venait nourrir ses racines, pour ne pas embarrasser la Naïade avec laquelle Dyphille faisait – depuis des âges anciens – une sorte de cohabitation profitable.
Ce n’est qu’au prix d’un temps long, de beaucoup d’effort, et d’observations des êtres que la Dryade prit finalement forme physique. Elle était si heureuse qu’elle dansa avec les fleurs ainsi que son amie aqueuse. Dès lors, Dyphille était capable de se déplacer, quitter son bosquet et rencontrer ses frères et sœurs dont elle ne percevait jusqu’alors la présence et les émotions qu’à distance. Ah, c’était une bien belle époque.
Puis, il y eut le projet de cette Bunny que Dyphille examina avec curiosité. Elle étudia les revues ramenée par la leader de l’île, s’amusant de toutes les drôles de chose que l’on pouvait y trouver. C’était donc cela, le monde des humains et ce qui leur plaisait ? La Dryade était plutôt enthousiasmée par l’idée et observa avec envie les premiers, et premières, arrivants. Tant de nouvelles créatures à aimer et à cajoler ! Dyphille n’hésita pas, elle était fin prête à participer à tout ce projet ! Elle vit qu’un petit kiosque recherchait une serveuse et se présenta. En plus, il y avait tout plein de bonne nourriture !
Quelle extase !

Pouvoirs

Sève aphrodisiaque : Il s’agit d’un mélange blanchâtre visqueux et sucré que son corps fabrique, Diphylle en rejette par ses lianes – ou bien ses parties intimes – sous l’excitation ou la stimulation. Il semblerait que ce soit très nutritif, et offre une sensation d’extase, de délice, à ceux qui en goutent. Pour certaines personnes, cependant, sa sève de plaisir peut devenir très addictive.

Fusion avec le Bosquet : Tout comme la dryade est capable de prendre forme humaine, elle doit néanmoins aller se ressourcer régulièrement au sein du bosquet dont elle est issue. A cet endroit, et seulement cet endroit, elle peut littéralement disparaitre et se fondre avec la végétation. Il s’agit là de sa « maison ».

Eternité : Entendre par là que la dryade ne peut pas mourir de vieillesse. Même blesser son corps physique n’est pas certain de la tuer. En revanche, si son bosquet était détruit ou abimé, cela la rendrait malade au point de la faire réellement disparaitre et donc, mourir.

Compréhension de la nature : Elle comprend le langage des plantes et de la verdure en général, même si ce ne sont que des émotions et des sentiments.

Pousse et nécrose : Diphylle est capable d’aider des plantes à mieux grandir et à pousser, tout comme les faire dépérir, même si ce cas apparait surtout quand elle est peinée ou bien, en colère.

Autres informations / Galerie

Diphylle n'a besoin, pour se nourrir, que de soleil et de liquides divers ( même si l'eau reste la mieux venue ). Cependant, cela ne l'empêche pas de gouter de la nourriture humaine, ce qu'elle se plait à faire par gourmandise. ❁ Le feu la terrorise plus que tout ❁ Tombe facilement amoureuse, dévouée.

Sa forme humaine:

Ses lianes apparaissent souvent: